[Faune et Flore froerîn] Forêt des songes.

Foret des songes

Faune

- Espèces aériennes :

Honiij : Ce rapace diurne se caractérise par deux longues plumes sur chaque extrémité de la queue. Ces plumes sont brunes et noires. Son envergure est 1m10 ce qui fait de lui un oiseau agile, ces ailes ne le gênant aucunement lorsqu’il chasse entre les arbres. C’est un excellent chasseur, certains villages froerin les domestiquent pour les accompagnés a la chasse.

Kunijj : Un bien étrange oiseau que le kunijj ; Ces petites ailes ne lui permettent malheureusement pas de voler, il se contente de picorer le sol à la recherche d’invertébrés dont il se nourrit exclusivement. Les femelles pondent 5 ou six œufs par jours, dissimulant ceux ci dans des bosquets. Seul un ou deux sont fécondés les kunijj étant il faut le dire fainéant.

- Mammifères


Siflly : Ce petit rongeur ressemble à s’y méprendre à un snifflik. Ce rongeur arboricole saute d’arbres en arbres et lorsque cela est nécessaire déploie une membrane entre ses pattes qui lui permet de planer sur quelques mètres. Il se nourrit exclusivement de feuilles.

Drihyon : Ce prédateur félin est passé maître dans l’art de l’embuscade. Il se distingue par un pelage sombre et de longues et fines oreilles. Nul besoin de dire qu’il est carnassier.

Flores

Somnoleur

Ce champignon à l’aspect inoffensif cache sa véritable nature. La forêt des songes tire son nom des effluves toxiques qu’il libère lorsque l’on souhaite le cueillir. En effet un nuage vert s’échappe de son chapeau et ses spores libérés asphyxie peu à peu le maladroit. La victime meurt peu de temps après.

Sylvae

Cette plante aux fleurs chatoyantes offre deux sortes de baies. L’une est pourpre et n’est malheureusement pas comestibles, Ingérés en grandes quantités elles donnent la diarrhée. Les autres baies de couleurs baies sont comestibles. Les feuilles, une fois séchées réduites en poudre et dissoute dans de l’eau soignent la diarrhée.

Herbe sifflante
Cette plante mesure de 30 à 50 cm. Elle n’offre aucune propriété et tire sont nom du bruit qu’elles font quant souffle sur elles le vent.

Rassnisost

On ne trouve pas de faune particulière dans la capitale froerin, si ce n’ai l’élevage de leurs propres chiens.

Les froerins cultivent des baies de différentes couleurs. Ils les récoltent au début de l’automne les malaxent et laissent leurs jus fermenter tout l’hiver. Il est mit en bouteille et devient du vin froerin. Le vin a donc différentes teintes selon quelles baies sont utiliser. Il y a 5 vins différents, mauve « vin hydryss » rouge « vin hydïm » blanc « vin hybelg » jaune orangé « vin hydercauss » et rose « vin hydïlg »


Langues

Hy : couleur
Dryss : mauve
Dïm : rouge
Belg : blanc
Der : jaune
Caus : orange
Dïlg : rose

Argh Tyriel !
Je viens de voir le nom des couleurs en Froerïn version DT. Y a-t-il moyen de les remplacer par celle que j'ai pondues ?
Il y a toute une tartine sur la lnnague froerïn dans la section du même nom. Je dois dire que j'attends avec impatience les premières remarques d'un guide. Qu'Alissandre et moi ne fassions pas fausse route sur cette voie.

je vait etudier ca.

montre moi ce que ca donne pour le vin .

Comment ça ce que "ça donne pour le vin" ? Tu veux le terme elfique pour "vin" ?

Les froerins cultivent des baies de différentes couleurs. Ils les récoltent au début de l’automne les malaxent et laissent leurs jus fermenter tout l’hiver. Il est mit en bouteille et devient du vin froerin. Le vin a donc différentes teintes selon quelles baies sont utiliser. Il y a 5 vins différents, mauve « vin hydryss » rouge « vin hydïm » blanc « vin hybelg » jaune orangé « vin hydercauss » et rose « vin hydïlg »

Ok, je comprends. J'ai eu peur, j'ai cru que tu voulias me vider mes réserves en voulant une dégustation gratuite...
Alors que je farfouille dans mon grimoire...

"Qâlï" est le mot que j'ai pris pour "couleurs",mais c'est un pluriel. Le singulier est "qâlë". Vu que certains noms de couleur commencent par une semi-consonne, il y aura élision du "-ë" final. Ce qui nous donnerait:
- vin mauve: qâlblolot
- vin rouge: qâllot
- vin blanc: qâlvis
- vin jaune-orangé: qâlïollot
- vin rose: qâlvislot (ou qâllotvis, selon que tu préfères "blanc-rouge" ou "rouge-blanc" pour dire "rose")

Quant au terme elfique pour "vin", que tu le tires d'une racine à consonnance saxonne ou à consonnance romane, ça donnera toujours un truc du type "vaïne". Donc je proposerai bien un truc du genre "uâïn", qui se prononce "ouayne" selon la phonétique elfique que j'ai proposée. On peut dès lors mettre ce terme soit avant l'épithète déterminant sa couleur,soit accolé à la fin de même épithète.
Ce qui donnerait soit "uaïn qâllot", soit "qâllot-uaïn" pour dire vin rouge. À toi de choisir ! Mais ne bois pas tout !

Sylvae c'est surfait... quelle horreur !

Je rajoute ma petite contribution florale.

Citation :

La forêt des songes a certaines particularités et on peut y trouver au détour d'un bosquet, voire aussi au sein de la capitale, certaines variétés de fleurs que nul ne saurait trouver ailleurs. Certains froerïns perfectionnistes, herboristes et botanistes, s'acharnent à créer de nouvelles sortes par des boutures dont les résultats serviront en agrément ornemental mais aussi dans la confection de remèdes, de pigments et divers domaines de la vie quotidienne.

- Eurycline :

C'est la fleur dit-on qui vit naître Belgadis. Les fleurs de forte texture sont disposées sur une fine tige. Les pétales marrons sont bordés de jaune vif. Le labelle jaune vif en début de floraison s'éclaircit au fil du temps. C'est une fleur diurne qui n'éclot qu'à la venue du jour. Son parfum doux reste très prisé mais par respect envers la Déesse, nul ne se permet d'en cueillir.

- Lhänceanaë :

C'est une plante de taille moyenne dont l'inflorescence est assez compacte, les fleurs sont vert jaune ponctuées de marron, le labelle est blanc. Décorative et très prisée, elle est aussi utilisée dans la confection d'huile bienfaisante et calme certaines irritations de la peau.

- Quepherantèsâ :

Les fleurs se succèdent les unes après les autres, de couleur blanche avec le fond du labelle brun. Sert dans la confection d'un parfum volatile et discret, prisé par les plus jeunes filles froërins ainsi que durant les unions nuptiales.

Symbole de séduction.

- Barkeriaë

Plante compacte, hampe florale retombante portant une multitude de petites fleurs dont les pétales sont blancs, les sépales verts et le labelle vert clair. On en extrait un poison paralysant parfois enduit sur la pointe des flèches.

- Athylifmnâ

Fougère aux frondes très découpées est très abondante. Plante hallucinogène si mâchée ou bue en infusion

- Arazylhnië

Floraison à la fonte des neiges. Assez reconnaissable pour ses fleurs assez grandes et blanches avec des pétales aux extrémités jaunes ou vertes. La fleur sert dans la confection de "philtre d'amour", soit des décoctions aux vertus aphrodisiaques.

- Niavoltiâ

Typique de la forêt des songes, c'est une plante aux fleurs bleutées poussant aux pieds des arbres et qui se distingue par les épines ornant sa tige. Reconnue pour ses propriété très irritantes.

- Qulaïashkâ

Plante aux fleurs ayant la forme de petites clochettes tirant entre le carmin et le rose acidulé selon la variété. Elle pousse toute l'année sans distinction des saisons et reste très prisée pour ses propriétés opiacées. Ainsi, beaucoup d'elfes des neiges en font sécher pour la fumer voire en mélangent avec des résines afin d'en faire brûler dans des encensoirs. Certains pensent qu'elle offre la possibilité d'acquérir une grande sagesse mais aussi de rendre la parole aux plus muets des froerïns.

Je 'éditerais peu à peu ma flore. Niveau faune, on va démarrer aussi.

Citation :

La faune grouillante au sein de la forêt des songes peut paraître magnifique à ceux qui n'ont guère l'habitude de s'y aventurer et il serait donc peu aisé de définir chaque espèce et créature animal que l'on peut y trouver.

- Shnaïâ (visshnaïâ/morshnaïâ)

Ce sont des cervidés aux longues ramures. Blanc le jour, noir la nuit dit-on mais il est fort probable que les deux espèces cohabitent ensemble avec une plus commune, de teinte brune. Ils seraient les gardiens des bois et il parait que si l'on fait attention, l'on peut apercevoir sur leur peau se refléter des messages divins selon l'inclinaison des astres.

- kimbirâ

Oiseau au plumage très coloré et aux larges ailes, plus grand que la moyenne au niveau de l'envergure. Il aime avant tout les cimes des arbres. Son chant enchante les voyageurs aux abords de la forêt mais l'hiver venu, il migre vers la baie des dauphins recherchant avant tout des saisons clémentes.

- adazgörényë

De la taille d'un chat domestique soit environ 80 cm de long, dont 25 cm pour la queue au dos mordoré et ventre blanc. C'est un mammifère carnassier à fourrure estimée. Cet animal vit essentiellement dans les habitats boisés, où il chasse sans difficulté de nombreux petits rongeurs. Son aspect est toutefois mince et effilé. Les mâles sont en moyenne plus grands que les femelles.

- Lorskyanë

Grand chat à poil mi-long à la stature imposante qui atteint son plein développement vers sa troisième année de vie. Son corps est long et musclé. Son ossature doit être puissante. Le mâle pèse environ 6 kilos, la femelle plus petite fait environ 4 kilos. Les pattes sont hautes et fortes. A savoir que les pattes postérieures sont plus hautes que les pattes antérieures et que la queue est aussi longue que le corps. La tête est triangulaire de face, avec un profil droit. Il possède de grands yeux, en amande, légèrement inclinés. Ses grandes oreilles, aussi larges que hautes peuvent être agrémentées de "plumets", et se situent dans le prolongement du triangle de la tête. Un sous poil laineux recouvert d'un poil de couverture imperméable, le protége ainsi du froid et des précipitations. En hiver son cou s'orne d'une belle collerette le rendant encore plus majestueux. C'est un animal très prisé par les froerïns qui s'adonnent généralement à son élevage ou en possèdent un.

Ysshtâui
C'est sans doute l'animal le plus étrange de la faune marine de la région de Kis'Moren, voire de toute la Forêt des Songes. Poisson vivant des eaux temprées à chaudes, il n'est visible en Hiemisla qu'à Kis'Moren, qui constitue son cadre de vie habituel. Toutefois, nul ne sait où se situe son lieu de frai. Il se déplace à la seule force de sa nageoire caudale, celles situées sur ses flancs ayant un tout autre rôle, du moins en ce qui concerne les mâles..
La particularité de ce poisson tient non seulement à sa morphologie, mais aussi à son mode de subsitance. Long d'environ 120 cm, l'Ysshtâui présente un corps fuselé de couleur aigue-marine aux reflets métalliques. Cela lui permet d'avoir dans l'eau un parfait camouflage pour attaquer ses proies: les oiseaux marins. L'Ysshtâui est en effet un poisson carnassier qui se nourrit exclusivement d'oiseaux marins, tels que mouettes, frégates ou cormorans. Doté d'une gueule, en forme de bec crochu, garnie de deux incisives courbes en haut et en bas, ce poisson est habile pour happer les oiseaux imprudents nageant à fleur d'eau. L'Ysshtâui mâle peut également aller capturer ses proies dans leur élément, c'est-à-dire le ciel. Sa nageoire caudale extrêmement musclée lui permet de se projeter hors de l'eau à une hauteur d'environ deux mètres. Alors les nageoires situées sur ses flancs se déplient: sous la couche écailleuse externe qui les protège se trouvent des ailes de plume, irisées du vert au bleu. C'est en battant des ailes pendant quelques secondes que l'Ysshtâui parvient à happer les oiseaux situés dans les cieux. Les Ysshtâui mâles se servent également de cette capacité pour leur parade nuptiale. La qualité d'un partenaire est déterminée par sa capacité et voler haut et longtemps.
Les Elfes aiment venir à Kis'Moren pour admirer ce spectacle qui ne se produit qu'une fois par an, aux environs de l'équinoxe d'automne.

Alissandre a écrit:

Lorskyanë

Grand chat à poil mi-long à la stature imposante qui atteint son plein développement vers sa troisième année de vie. Son corps est long et musclé. Son ossature doit être puissante. Le mâle pèse environ 6 kilos, la femelle plus petite fait environ 4 kilos. Les pattes sont hautes et fortes. A savoir que les pattes postérieures sont plus hautes que les pattes antérieures et que la queue est aussi longue que le corps. La tête est triangulaire de face, avec un profil droit. Il possède de grands yeux, en amande, légèrement inclinés. Ses grandes oreilles, aussi larges que hautes peuvent être agrémentées de "plumets", et se situent dans le prolongement du triangle de la tête. Un sous poil laineux recouvert d'un poil de couverture imperméable, le protége ainsi du froid et des précipitations. En hiver son cou s'orne d'une belle collerette le rendant encore plus majestueux. C'est un animal très prisé par les froerïns qui s'adonnent généralement à son élevage ou en possèdent un.

J'imagine que ça ressemble à peu près à ça:

A un chat norvégien oui, dialka voulait en insérer.

Asoutrâ
L'asoutrâ est un arbre très particulier dans la Forêt des Songes. Egalement appelé arbre-à-cames, il présente une forme spécifique, qui est de n'avoir aucune forme définie. Il est constitué de racines, et uniquement de racines, noueuses et serpentines, prenant souvent des formes évocatrices.
Généralement, cet arbre ne dépasse pas les 10 pieds de hauteur; Mais s'il est autant apprécié, c'est parce que la doctrine dite du Rituel des Arbres lui confère la capacité à restaurer, à relancer le désir de l'autre. Pour cette raison, toute personne soucieuse de raviver le désir d'un partenaire ira méditer sous cet arbre, afin d'obtenir un vision.
Les plus sages des prersû de Merlot assurent que, pour qui sait regarder, la forme-même de l'asoutrâ est déjà une révélation.